Nos entrepreneurs
Catherine CREPIN
L'atelier de Chacha

Comment vous présenteriez-vous ?
J’ai un parcours un peu atypique. J’ai suivi une formation de gestion finance. Rien ne me prédestinait à créer une entreprise et il y a encore un an, je ne connaissais rien du milieu dans lequel je me suis lancée. Il y a deux mots qui me décrivent : ma détermination : je vais toujours jusqu'au bout, et mon adaptation : parce que la vie n'est pas un long fleuve tranquille et il faut constamment s’adapter. Pour raconter mon histoire, ma fille est pluri-handicap, elle a un handicap moteur, un bras plus petit que l’autre, etc. À moins de tout faire sur mesure, il faut pouvoir le faire soi-même car on ne trouve pas des habits comme cela dans le prêt-à-porter. C’est pourquoi j'ai eu ce projet, et j’ai constaté que le problème de ma fille n'était pas propre à elle et que sur le marché de l'habillement, il n'y avait pas grand chose et quand il y a des choses, c’est très cher. L'idée était de répondre à un besoin qui n'était pas répondu sur le marché, et proposer un produit qui ne coûte pas cher. L'âme de mon entreprise est l’écoute et la bienveillance, l'imagination et l’adaptation et la récupération et le recyclage.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
Mon entreprise consiste à proposer d’adapter ou ajuster des vêtements par rapport à une problématique morphologique. Autant pour des personnes avec un handicap ou liées à la vieillesse ou juste une personne avec une morphologie atypique et à laquelle le prêt-à-porter ne répond pas vraiment. L'idée est de proposer un produit pas très coûteux.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
J’étais dans la comptabilité et la gestion. J’ai arrêté, puis trouvé du travail dans le secrétariat/comptable pour aider les petites entreprises qui n’avaient pas forcément les moyens pour engager quelqu’un dans un vrai poste.
Quel a été le déclic qui vous a lancé dans l’entrepreneuriat ?
C’est un projet auquel je pensais depuis très longtemps mais rien ne me poussait à y aller. Je ne connaissais rien à la couture et je ne pensais pas que mon idée avait de l'intérêt, je n'étais pas prête. Je suis arrivée à un moment où ce que je faisais professionnellement ne me convenait plus, je n’arrivais pas à trouver un sens à mon travail. J’ai arrêté de travailler et déménagé et j'ai pensé à ce que je voulais faire et l'idée est revenue et je me suis dit qu’il fallait se donner les moyens. Ma fille a joué un rôle majeur dans cette idée.
Qu’est-ce que Positive Planet vous a apporté ?
Je dirais de croire en mon projet. Je n’étais pas sûre de mon projet et Positive Planet m’a convaincu que mon projet méritait d’exister.
Est-ce que vous vous êtes confrontés à des obstacles ?
Pour l'instant, ce qui est compliqué c’est de trouver des clients, de démarcher et me faire connaître.
Comment imaginez-vous la suite ?
Tout dépend de mes clients mais vraiment de pouvoir travailler avec des personnes spécialisées. Sur le plan psychologique, permettre aux personnes de réaliser que oui il y a un handicap mais on peut trouver des solutions pour que notre quotidien soit agréable.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
Persévérer quoi qu’il arrive et surtout se faire confiance. Ne pas écouter le négatif qui se dit autour. Il faut toujours garder l’objectif de son idée.
Bintou DIABY
DocFacile
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Comment vous présenteriez-vous ?
Je suis Bintou, ex-employée du secteur privé qui travaillait beaucoup avec trois enfants en bas âge.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
Mon entreprise est une société d’assistance administrative qui a pour but de décharger mes clients et de leur proposer des services et leur faire gagner du temps et de l’argent, tout cela dans un schéma de confiance.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
Est-ce que vous vous êtes confrontés à des obstacles ?
Le principal obstacle que j’ai rencontré a été moi-même. Dans le sens où je me suis lancée dans quelque chose qui ne me demandait pas beaucoup de fonds et donc je repoussais. Grâce à Positive Planet, j’ai pu être rassurée sur mon projet et me rendre compte qu’il était viable.
Comment imaginez-vous la suite ?
J’imagine me lancer concrètement et puis en fonction des retours, réduire ou déterminer précisément mon champ d’action, ce sur quoi je vais le plus communiquer.
Avant de créer mon entreprise, j’étais gestionnaire de données. Après avoir démissionné, j’ai directement enchaîné sur la création d’entreprise.
Qu’est-ce que Positive Planet vous a apporté ?
Positive Planet m’a permis de structurer mon idée. Cela m’a permis de tout poser étape par étape, mettre les pieds au bon endroit et tout ficeler.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
Ne pas hésiter. Avant de se lancer, il faut toquer aux bonnes portes, se faire accompagner car cela permet de faire les choses en temps et en heure.
Marine GINOT
Agilivres
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Comment vous présenteriez-vous ?
Je suis une personne qui aime les livres, l’histoire, les univers. J’ai découvert que je pouvais faire quelque chose pour partager les histoires qui me plaisaient.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
Agilivres. C’est une micro-agence d’accompagnement et médiation littéraire. L’idée est d’accompagner l’envol des histoires, des auteurs et des maisons d’édition, je viens en renfort et en complément des compétences qu’ont déjà les personnes. Je fais également de la prise en main d’évènement, de la communication, de la médiation.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
J’ai un parcours à mi-chemin entre le monde du live. J’ai commencé par un bac littéraire, une prépa littéraire, puis un master de commerce. En parallèle, j’ai commencé à travailler et mener des projets dans le secteur du livre. J’ai entrepris la création d’un blog littéraire. Au début, j’intervenais auprès d’auteurs et de maisons d’édition. J’ai participé aux coulisses de création d’un livre. La création d’entreprise est arrivée dans la continuité de ça. Des personnes étaient à la recherche d’une freelance. Au moment où ils me l’ont dit, je n’avais presque pas le projet de me lancer. Je me suis dit que j’allais donner sa chance à cette idée car ça me permettait de faire ce que j’aimais.
Quel a été le déclic qui vous a lancé dans l’entrepreneuriat ?
Le déclic a été ces plusieurs personnes qui m’ont demandé de travailler pour eux en freelance pendant l’été 2021.
Qu’est-ce que Positive Planet vous a apporté ?
Positive Planet m’a aidé à avoir un cadre. De base, l’entrepreneuriat n’était pas forcément un projet qui m’attirait, je ne cherchais pas forcément à faire de l'entrepreneuriat. Positive Planet m’a également aidé à avoir des personnes ressources dès que j’avais une question (concernant le droit, le statut juridique, etc.). C’est cet aspect de ne pas y aller toute seule, de m’aider à prendre en main mes propres outils et à me structurer qui m’a vraiment plu chez Positive Planet.
Comment imaginez-vous la suite ?
J’ai énormément d’idées et je suis actuellement en train d’étudier la faisabilité de toutes. J’aimerais aider les projets à se faire connaître, aider les lecteurs à trouver les auteurs qui les conviennent et vice-versa. Ce qui m’intéresse est de faciliter cette rencontre.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
N’ayez pas peur de vous-mêmes, et croyez en vos idées. Faites-vous accompagner, trouvez la structure ou la personne qui vous permettra de ne pas y aller tout seul.
Nadira GHEZOUANI
Noundoll
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Comment vous présenteriez-vous ?
Je m’appelle Nadira. À la base je faisais des études de couture mais je n’ai jamais travaillé dedans. Ensuite j’étais secrétaire de direction pendant plusieurs années. Plus tard, j’avais envie de me créer mon propre travail car j’aimais pas forcément être briefée par les autres.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
Je suis créatrice de poupées émotions. Le but de l’entreprise serait d’allier le social et l’environnemental. Je voudrais plus tard faire faire mes poupées par des ESAT et les faire localement avec des matières recyclées.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
J’étais bénévole, je donnais des cours de couture sur le zéro déchet. En même temps, il y a eu la naissance de ma nièce. Ma sœur est éducatrice de jeunes enfants et elle cherchait une poupée qui a le moins d’expression possible, et elle m’a demandé de lui en faire une, et c’est comme cela que je suis tombée dans le monde des jouets.ma propre société.
Qu’est-ce que Positive Planet vous a apporté ?
Cela faisait un moment que j’avais cette idée, mais je n’arrivais pas à commencer et à me structurer. Positive Planet a été d’une grande aide pour structurer mon projet, me faire savoir vraiment ce que je voulais faire. Aussi à m’apprendre plein de choses car j’ai fait tous les ateliers qu’ils m’ont proposés. Je pense que toute seule je n’y serais pas arrivé.
Est-ce que vous vous êtes confrontés à des obstacles ?
Il y a des hauts et des bas. Mais pas vraiment d’obstacles; je suis seulement au début, je pense qu’il y en aura sûrement.
Comment imaginez-vous la suite ?
Faire mes poupées à l’aide d’ESAT et me concentrer sur la création de nouveaux modèles. Également plein de choses autour de l’émotion, peut-être d’autres jouets.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
Se faire accompagner déjà, parce que tout seul c’est assez dur. Être bien entouré, par la famille, les amis, des professionnels, d’autres entrepreneurs. D’en parler, de confronter son projet à un maximum de personnes. Et de commencer surtout.
Nesrine BRAIEK GALY
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Comment vous présenteriez-vous ?
Je suis une maman entrepreneuse. Je dirais une femme dynamique qui a plein de projets dans la tête et qui doit allier la vie de maman et la vie de femme en même temps avec beaucoup d’ambition.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
Une boutique en ligne de vêtements, accessoires et jeux d’éveil pour bébés, de la naissance à l’âge de 36 mois. C’est une boutique qui soutient les créateurs français et européen : je ne vends que des produits Made in France et Made in Europe qui sont bio; donc une boutique éco-responsable.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
J’étais assistante immobilière et aujourd'hui je travaille à mi-temps dans le même domaine.
Quel a été le déclic qui vous a lancé dans l’entrepreneuriat ?
Déjà, depuis mon adolescence j’ai toujours aimé le shopping et j’ai toujours voulu ouvrir ma boutique de vêtements. C’est après la naissance de mon fils que je m’amusais à lui acheter des vêtements, lui créer son dressing, à lui acheter des jouets etc. C’est à ce moment-là que je me suis dit : “Nesrine tu as toujours voulu créer ta boutique, et bien tu vas ouvrir une boutique pour les bébés”.
Qu’est-ce que Positive Planet vous a apporté ?
Plein de choses. De la motivation, de croire en mon projet. Plein de conseils. Grâce à eux, j’ai pu me lancer dans mon projet car il y avait des bases que je n’avais pas. Positive Planet m’a apporté tout ce que je devais avoir : l’accompagnement de A à Z, la chance de pouvoir rencontrer plein de gens capables de m’aider, et notamment ce concours qui peut faire gagner une subvention.
Est-ce que vous vous êtes confrontés à des obstacles ?
Je dirais que pour l’instant le seul obstacle c’est de devoir prouver aux fournisseurs que malgré le fait que je sois une micro-entreprise, que j’ai les finances nécessaires pour pouvoir acheter les marchandises.
Comment imaginez-vous la suite ?
L’augmentation de mes commandes. J’espère que d’ici quatre ans j’aurais ma boutique physique.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
Accepter les critiques même si elles sont négatives car c’est avec ça qu’on avance. Ne pas avoir peur de l’erreur parce qu’il faut en faire pour apprendre. Et être bien entouré.
Wafae MAQUET
Fornine Comédie
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Comment vous présenteriez-vous ?
Je m’appelle Wafae Maquet, je suis maman de deux petits garçons et j’ai fait une école hôtelière de quatre ans. J’ai travaillé principalement chez des traiteurs événementiels. Ma spécialité dans la restauration c’est la pâtisserie, un milieu dans lequel j’ai été formée pendant 2 ans, et j’ai également fait deux ans complémentaires en tant que traiteur.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
Mon entreprise sera dynamique, un lieu de partage et d'échange, de rencontre, de découverte de nouveaux artistes.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
Avant cela, j'étais mère au foyer.
Quel a été le déclic qui vous a lancé dans l’entrepreneuriat ?
J’ai vu mes petits garçons grandir, et aujourd’hui je pense qu’ils sont assez grands et j’ai envie de reprendre une activité professionnelle.
Qu’est-ce que Positive Planet vous a apporté ?
Beaucoup. Tout d’abord une confiance en moi, je me suis rendu compte que j’étais capable d’entreprendre. Et puis beaucoup de clarté dans l’ouverture de ma société.
Est-ce que vous vous êtes confrontés à des obstacles ?
Tout ce qui est administratif. la création de dossier pour les banques par exemple, ça demande un certain savoir faire que je n’ai pas forcément.
Comment imaginez-vous la suite ?
J’imagine la suite à mon image. Développer une entreprise pétillante, qui me correspond.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
Foncez. N’hésitez pas. Le plus et le plus dur c’est tout ce qui est administratif, mais derrière on a un super appui, un super soutien avec tous les référents qu’on peut avoir autour de nous.
Aouatef SAHTOUT
Salina Beauty
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Comment vous présenteriez-vous ?
J’ai commencé en tant que vendeuse, puis conseillère en image avec le maquillage etc. C’est ce qui m’a poussé à reprendre les bancs de l’école et faire un CAP esthétique avec plein de formations autour.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
"The entreprise". Un salon de beauté et bien-être, c’est-à-dire que ma priorité avant tout c’est le bien-être des gens, leur apporter un petit plus.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
J’ai été vendeuse, puis esthéticienne à domicile et également en institut.
Quel a été le déclic qui vous a lancé dans l’entreprenariat ?
D’abord le fait de savoir que j’allais être mon propre patron. Et puis le déclic final ça a été mon petit garçon, pouvoir offrir un bel avenir à mes enfants pour qu’ils soient fiers de leur maman.
Qu’est-ce-que Positive Planet vous a apporté ?
Beaucoup. De la confiance en mon projet, de l’accompagnement, de l’orientation parce que quand on est passionné par son projet et parce que l’on fait, souvent on s’éparpille dans tous les sens, donc je dirais de l’encadrement aussi, de l’évolution.
Est-ce que vous vous êtes confrontés à des obstacles ?
Oui. L’obstacle de trouver un local. Ça a été très dur parce que je me suis retrouvé dans un milieu que je ne connaissais pas du tout. Et après il y a tout le processus d’aller voir les banques, de devoir convaincre, ça reste des petits obstacles.
Comment imaginez-vous la suite ?
J’aimerais grandir encore plus. De transmettre un savoir-faire et de montrer qu’en tant que femme et en tant que maman, on peut évoluer dans cette société.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
Il faut foncer, il ne faut pas hésiter, il faut y aller. Il faut essayer car dans tous les cas si on n’essaye pas, on ne saura jamais. Et puis même si on tombe, on se relève.
Olfa BEN CHAABANE
Conciergerie les Trois Fées
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Comment vous présenteriez-vous ?
Je suis une entrepreneuse récente. J’ai lancé mon entreprise en septembre. Je suis heureuse de me lancer dans l’entrepreneuriat.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
C’est une conciergerie de luxe dédiée au CSP+. Elle aide les gens aisés et propose des services de conciergerie. Quand mes clients sont à l’étranger, je réponds à leurs besoins en prenant soin de leurs maisons et d’autres petites prestations.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
Je suis une gouvernante d’hôtel 5 étoiles. En même temps, je travaille chez les particuliers.
Quel a été le déclic qui vous a lancé dans l’entrepreneuriat ?
Mes clients m’ont encouragé à créer mon entreprise et de proposer sur le marché les prestations de qualité que je propose dans mon hôtel.
Qu’est-ce-que Positive Planet vous a apporté ?
Beaucoup. Tout d’abord une confiance en moi, je me suis rendu compte que j’étais capable d’entreprendre. Et puis beaucoup de clarté dans l’ouverture de ma société.
Est-ce que vous vous êtes confrontés à des obstacles ?
Des petites choses, parce que quand on n’a pas l’habitude, c’est normal de se confronter à des obstacles. Positive Planet m’a aidé dans cet aspect-là : c’est rassurant de pouvoir poser des questions, de se sentir soutenir. C’est rassurant.
Comment imaginez-vous la suite ?
Ça a bien commencé, donc j’espère une suite encore meilleure. Développer mon entreprise, grandir petit à petit.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
Je les encourage. Si c’est quelque chose qui vous tient à cœur, que ça peut-être bénéfique pour vous et que vous aimez votre projet, qu’il vous rend heureux, je vous encourage vivement.
Pierre-Emmanuel Clavier
Ateliers Mobila
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Comment vous présenteriez-vous ?
Je suis un tout jeune créateur d’entreprise qui a été accompagné par Positive Planet. Je viens du monde du design 3D et j’ai personnellement travaillé dans l’architecture. Ma femme est architecte d’intérieur, mon beau-père est ébéniste. Ça a été le point de départ : on a eu envie de monter une structure pour rejoindre les trois.
Comment présenteriez-vous votre entreprise ?
J’ai reçu beaucoup de formations sur l'entrepreneuriat dans mon premier métier en 2012. Jusqu'en 2017, j’ai eu accès à énormément de formations entrepreneuriales et managériales. Mon deuxième emploi était dans la 3D. Un domaine dans lequel j’ai fait mes études et j’avais réellement envie de travailler dans ce milieu.
Que faisiez-vous avant de créer votre entreprise ?
A cause du covid j’ai subi un licenciement économique, et c'était le bon moment et la bonne occasion de tenter ce projet. J’avais des envies de faire autre chose.
Qu’est-ce que Positive Planet vous a apporté ?
Cela a été un grand avantage. Ça vaut vraiment le coup. Pour moi, l’avantage de Positive Planet c’est qu’on s’assure de toutes les étapes de création et nous sommes bien accompagnés.
Quel a été le déclic qui vous a lancé dans l’entrepreneuriat ?
Après un bilan de compétence à la fin de mon précédent poste, je me suis dit “pourquoi pas tenté de faire autre chose”. Je me suis retrouvé au chômage après mon licenciement économique et j’ai commencé mon projet d’entrepreneuriat avec Positive Planet. J’ai été suivi par Anouk et j'avais juste l’idée de base qui était : “meuble sur mesure et architecture d’intérieur”. Cette idée est survenue avec ma femme et mon beau-père. On avait le concept de base et on a bossé tout le reste pendant 1 an et demi : de l’étude de marché jusqu’à l’immatriculation. Les petits-dèj’ réseau, les permanences, les formations m’ont permis de rencontrer beaucoup de gens notamment pour mon entreprise.
Comment imaginez-vous la suite ?
J’espère une belle suite. En ce moment, on est en train de finaliser les derniers éléments qui appartiennent à la partie avant création. J’aimerais qu’on puisse évoluer tranquillement, qu’on arrive à bosser tous ensemble en famille. Le projet dans 10 ans serait d’avoir 1 ou 2 salariés. Pour l’instant, je vais intégrer le club des positiveurs, et je pense que ce sera déjà un plus pour moi.
Un conseil pour les personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise ?
Il faut oser et prendre le risque et en même temps c’est super important de s’entourer, et ça vaut pour tout.